FLEUR DE CBD LAUGHING BUDDHA : UNE DÉTENTE RAPIDE ET EFFICACE
Les fleurs de CBG Laughing Buddha sont :
- sucrées
- citronnées
- riches en saveur d'agrumes
Ces fleurs de chanvre Laughing Buddha ont une teneur forte à 13,8 % de CBG, de 0,4 % de CBD puis évidemment < 0,2 % de THC.
Densité des fleurs : Très dense
Taille des têtes : Moyennes / Grosses
Elles proviennent de
SUISSE, et cette superbe récolte de
fleurs de chanvre CBG provient d’une culture
INDOOR.
Toutes les fleurs de CBD et de CBG présentes sur CBD.FR, sont :
- 100 % légales
- 100 % naturelles (sans pesticides !)
- 100 % bio
Nous vous proposons une idée recette infusion pour vos fleurs de CBG. Puis, vous suggérons, à la suite, une description et explication du Cannabigériol, l’une des nombreuses molécules présentes dans le chanvre et dont CBD.fr est ravi de vous proposer en exclusivité l’une des plus belles cultures suisses du marché !
Qu'est-ce que le cannabigériol (CBG) ?
Comme énoncé plus haut, le
CBG (cannabigériol) est une des multiples molécules que compte la plante de cannabis. En effet, il serait certainement judicieux de spécifier que le cannabigériol est l'une des molécules fondamentales du cannabis. Pourquoi ? Parce que c'est à partir d'elles que s'obtiennent d'autres molécules majeures de cette plante. Dans cet ordre d'idées, nous pouvons citer le CBDA et le THCA. C'est le premier qui donne le célèbre CBD. Pendant que le deuxième devient le THC.
Le CBG et l’organisme
Il serait incongru de parler du
CBG, ou de toute autre molécule, sans faire allusion à son interaction avec l’organisme. Ceci dit, il est important de préciser que, comme le CBD et le THC, le CBG agit avec le système endocannabinoïde de chaque organisme. Dit ainsi, de quoi s’agit-il exactement ? En effet, le système endocannabinoïde sert à imiter les composés que notre corps fabrique naturellement, soit, les endocannabinoïdes. Dans cet ordre d’idées, chaque molécule se lie à un récepteur spécifique de ce système, afin d’agir. Sous cet angle, pendant que le THC, par exemple, se lie aux récepteurs CB1, le CBG, lui, se lie aux récepteurs CB2 qui se trouvent dans l’intestin, le tissu conjonctif et le système nerveux. Liaison qui lui permet d’avoir les effets présentés ci-dessous.
Vous souhaitez en savoir davantage sur le système endocannabinoïde, consultez ces articles :
Les effets du CBG sur l’organisme
D’entrée de jeu, nous tenons à préciser que les recherches sur le
CBG sont moins poussées et vulgarisées que celles du CBD, par exemple. En conséquence, les ressources sur ce sujet sont rares. Néanmoins, CBD.fr, soucieux de vous proposer une description de cette molécule et de développer pour vous ses bienfaits, a réuni les principaux effets qu’aurait le CBG. Nous vous les présentons, les uns après les autres.
Le CBG et les douleurs
Comme le CBD, le CBG aiderait à soulager les douleurs chez ceux qui en font usage. Certaines recherches ont été effectuées dans ce sens. À ce sujet, en 2010, une étude réalisée sur des membranes cérébrales de souris a révélé que le cannabigérol agissait comme un puissant agoniste des alpha-2 adrénocepteurs. Dans la même lancée, une analyse scientifique de 2008 est arrivée à la conclusion similaire.
Le CBG et le Glaucome
Comme pour les douleurs, des recherches ont également été effectuées dans cette logique. Le Département d’Ophtalmologie de l’Université de la Virginie Occidentale s’est penché sur la question dès 1990, en testant à la fois le THC et le CBG. Leur but était de déterminer si l’un ou l’autre des cannabinoïdes pouvait diminuer la pression intraoculaire chez les chats. Ils arrivèrent ainsi à la conclusion que le cannabinoïde et son homologue psychoactif permettaient de faire baisser la pression intraoculaire avec succès.
Le CBG et les inflammations
Une fois de plus, le CBG rejoint le CBD dans ses effets. En effet, le Département de Pharmacologie de l’Université de Naples a mené une étude sur des souris, afin d’étudier comment le CBG pourrait aider à combattre les inflammations. Publiée en 2013, leur étude a conclu que le CBG était capable d’affaiblir la colite murine, tout en « […] réduisant la production d’oxyde nitrique dans [leurs] macrophages ».
Le CBG et les maladies neuro-dégénératives
Des scientifiques découvrent un lien entre le CBG et le traitement des maladies neurodégénératives. Publiée dans la revue Neurotherapeutics, en 2015, cette étude sur des souris souffrant de la maladie de Huntington révèle que le cannabigérol protègerait les sujets de plusieurs symptômes de la maladie.